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Réduisez les charges de vos copropriétaires avec un éclairage des parties communes optimisé et sensibilisez-les avec l’Avis Electronique

L’éclairage des parties communes peut représenter jusqu’à 30% des consommations d’électricité d’un immeuble. L’optimisation de celui-ci permettra de réduire considérablement les charges de vos copropriétaires.

Mais quel éclairage choisir pour une gestion optimale ?

A suivre : des solutions pour réduire la consommation d’énergie en copropriété et pour réaliser de belles économies.

Sommaire :

  1. Adapter l’éclairage des parties communes
  2. Opter pour des lampes à LED pour réduire les charges en copropriété
  3. Paramétrer la minuterie pour répondre aux mieux aux besoins
  4. Se munir de détecteurs de présence
  5. Sensibilisez vos copropriétaires avec l’Avis Electronique

1. Adapter l’éclairage des parties communes

Dans un immeuble, les parties communes sont toutes les parties intérieures et extérieures à l’édifice à savoir :

  • Halls d’entrée ;
  • Couloirs, escaliers et paliers ;
  • Sous-sols et parkings ;
  • Local technique, local vélo et/ou poussettes ;
  • Jardins et/ou allées menant à l’immeuble.

Il s’agit donc de tous les lieux de passage d’un immeuble, qui n’ont pas besoin d’être constamment éclairés. Cependant, l’éclairage des parties communes en copropriété doit impérativement respecter le confort de l’occupant et sa mobilité.

Afin d’optimiser la consommation d’énergie et de réduire les charges de vos copropriétaires, il est judicieux de s’intéresser aux types d’éclairage existants. Aussi, un bon paramétrage des éclairages permettra de contrôler la consommation d’énergie et de réduire les coûts liés à l’entretien.

2. Opter pour des lampes à LED pour réduire les charges en copropriété

Bien que les LED soient plus chères à l’achat, elles sont bien moins énergivores. En effet, ces dernières permettent de réduire considérablement sa consommation d’énergie. Bénéficiant aussi d’une longue durée de vie, l’achat de LED très vite rentabilisé. En effet, les LED ont une durée de vie d’au moins 25 000 heures et pour les plus qualitatives jusqu’à 50 000 heures. Ainsi, en optant pour des LED, vous n’aurez plus besoin de changer d’ampoule pendant au moins 10 à 15 ans. Ce qui réduira considérablement les coûts liés à l’entretien de l’éclairage des parties communes en copropriété.

D’autre part, les luminaires LED alimentés par un convertisseur électronique, garantissent une très faible variation d’intensité lumineuse. Aussi, détectant les mouvements et la lumière du jour, les LED s’allument uniquement lorsque cela est nécessaire. Résistantes aux chocs et au froid, les LED sont parfaitement adaptées pour les parties communes d’un immeuble.

Enfin, compatibles avec la plupart des luminaires, les LED sont une solution durable et accessible à tous.

3. Paramétrer la minuterie pour répondre aux mieux aux besoins

Les luminaires à commande manuelle ne sont pas conseillées dans les parties communes tout d’abord parce qu’elles sont successibles de rester allumés en continu. Pour surmonter ce problème, des systèmes de minuterie peuvent être installés dans les couloirs et les escaliers de l’immeuble.

Toutefois, cette solution n’est pas sans inconvénient. En effet, la mise en place de minuteries nécessite de régler le temps de mise en route de l’éclairage pour ne pas endommager les ampoules incompatibles. La temporisation peut durer entre 1 à 10 minutes.

Toutefois, bien souvent, les couloirs d’un immeuble sont commandés par une seule minuterie. Or, il est possible de réduire la durée de la minuterie tout en tenant compte des temps de trajet nécessaires entre le parking, la cave et le local poubelle. Ainsi, en optant pour la minuterie, vous pourrez réaliser quelques économies grâce aux secondes gagnées.

4. Se munir de détecteurs de présence

Installés à l’extérieur et à l’intérieur, les détecteurs de présence enclenchent la lumière lorsqu’une personne est décelée. Toutefois, l’usage de ces équipements doit respecter certaines mesures de sécurité comme le prévoit l’arrêt du 3 mars 2007. En effet, les détecteurs de présence doivent notamment répondre aux normes d’accessibilité des personnes handicapées. Ainsi, en optant pour ces équipements, il sera nécessaire que la détection couvre l’ensemble des espaces concernés et que les zones de détection successives se chevauchent. Pour ce faire, des systèmes performants incorporant des automatismes de détection de mouvement et de lumière naturelle devront être installés.

Par ailleurs, les capteurs de lumières permettent d’ajuster l’éclairage artificiel selon la quantité d’éclairage naturel disponible. Ainsi, l’éclairage artificiel se déclenchera uniquement lorsque cela sera nécessaire. Associables aux détecteurs de mouvement, la complémentarité de ces deux systèmes peut être une solution efficace pour lutter contre le gaspillage énergétique.

Certains systèmes peuvent même comporter plusieurs fonctions :

  • Détection de lumière naturelle ;
  • Détection de mouvement ;
  • Temporisation ;
  • Extinction progressive et maintien d’un éclairage de veille.

Dans le cadre d’un immeuble, une modification de l’éclairage des parties communes permettra d’optimiser les coûts de maintenance et d’énergie. A noter, toutefois, que certaines règles de conformité devront être respectées. Pour ce faire, l’association de lampes et luminaires performantes couplée à des détecteurs de mouvement et de lumière naturelle permettra de répondre parfaitement à toutes ces obligations réglementaires.

5. Sensibilisez vos copropriétaires avec l’Avis Electronique, une solution plus favorable pour l’environnement

Dans une enquête menée par BVA, seuls 24% des copropriétaires ayant répondu à l’enquête ont été informés par leur syndic des nouvelles obligations réglementaires de la loi Climat et Résilience*. Ce qui montre que les copropriétaires sont peu sensibilisés sur les questions énergétiques. Or, les syndics ont un rôle primordial à jouer sur ce point. Pour cela, ils doivent adopter de nouvelles solutions pour simplifier la communication de ces informations auprès de leurs copropriétaires.

Pour répondre à ces nouveaux besoins, les syndics peuvent opter pour l’Avis Electronique dans le cadre de l’envoi de leurs communications réglementées en copropriété à savoir : Convocations d’AG, PV d’AG et mise en demeure. En effet, dédié aux syndics de copropriété, l’Avis Electronique est utilisable en copropriété dans le cadre des notifications réglementées depuis le 2 juillet 2020 comme le prévoit le décret 2020-834. Valable juridiquement uniquement dans les 3 situations mentionnées ci-dessus, l’Avis Electronique accélère vos procédures en supprimant le délai d’acheminement de vos courriers et en faisant courir vos délais légaux. Aussi, dématérialisé, l’Avis Electronique permet de simplifier la réception du courrier par vos copropriétaires. En effet, ceux-ci peuvent accéder à leurs notifications en 1 clic sans avoir besoin de prouver leur identité. Aussi, économique, l’Avis Electronique a un tarif de 2,29€HT** et comprend :

  • L’acheminement du courrier ;
  • La génération de preuves horodatées ;
  • La conservation de ces preuves, contenu et PJ sur nos serveurs sécurisés français ;
  • Une capacité de 256 Mo de PJ quel que soit le format de fichier envoyé.

Enfin, plus favorable à l’environnement, l’Avis Electronique permet de s’affranchir du papier et d’un acheminement par voie postale ;

 

Pour envoyer votre premier Avis Electronique, créez dès maintenant votre compte sur ar24.fr. Si vous avez des questions sur l’Avis Electronique et son utilisation, n’hésitez pas à nous contacter. Notre expert sur le marché de l’immobilier répondra à toutes vos questions.

**tarif en vigueur le 21/03/23

 

Pour en savoir plus sur les dépenses énergétiques en copropriété, voici un article qui pourrait vous intéresser : Comment réduire vos dépenses énergiques en copropriété grâce à une meilleure communication ?

 

*Source : * https://www.bva-group.com/sondages/bva-cotoit-coproprietaires-pouvoir-dachat-renovation-energetique/

 

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